Perfusion – Pompe à perfusion – BD BodyGuard MicroSet. BD a identifié que les BD BodyGuardTM MicroSets, risquent d’amener le clamp à port en Y à se desserrer de manière involontaire pendant l’utilisation clinique, et ainsi permettre la pénétration d’air dans la ligne par son bouchon de purge d’air > Cliquez ici pour avoir accès au courrier publié le 19 mars 2024.
Parution JORF – Denrées alimentaires : Renouvellement d’inscription de la denrée alimentaire destinée à des fins médicales spéciales pour nutrition orale NEOCATE JUNIOR de la société NUTRICIA NUTRITION CLINIQUE inscrite au titre I de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale.
> Cliquez ici pour lire l’arrêté du 5 août 2024 paru au JO du 7 août 2024 qui entrera en vigueur le 20 août 2024.
Information de sécurité ANSM – Ventilation : Ventilateurs Luisa de LOWENSTEIN.
Dans de rares cas, lorsque le volume sonore du ventilateur est réglé à 1, et uniquement à 1, il se peut que l’alarme sonore ne fonctionne pas et que seule l’alarme visuelle se déclenche. Pour résoudre cette défaillance d’alarme, une mise à jour du logiciel est prévue pour octobre 2024. Dans l’attente, il est demandé aux utilisateurs de vérifier que le volume sonore soit réglé sur 2 ou plus (réglage par défaut). Ce réglage permet de garantir l’enclenchement de l’alarme sonore.
> Cliquez ici pour lire le courrier du 1er août 2024.
> Cliquez ici pour lire le courrier rédigé à l’attention des patients.
Nous avons été reçus le 29 juillet par la CNAM pour la présentation de la dématérialisation de la Demande d’Accord Préalable pour les patients souffrant d’apnée du sommeil et traités par Pression positive continue ou Orthèse d’avancée mandibulaire.
En effet, à l’heure de la dématérialisation, et pour simplifier le quotidien des prescripteurs et de l’Assurance Maladie (qui reçoit environ un million de demandes d’accord préalable pour traitement par PPC ou OAM par an) il a été décidé de mettre en place un téléservice dédié afin d’optimiser la gestion de celles-ci.
Si la CNAM a décidé d’initier ce processus par la PPC, il se pourrait que cela s’étende à tous les dispositifs nécessitant une DAP.
Un projet élaboré sans les PSAD
La formulation de la genèse du projet illustre toute la problématique posée par celui-ci, en l’état actuel des choses. En effet, le prestataire de santé à domicile (PSAD/PSDM), acteur pivot du dispositif, qui installe, forme, effectue le suivi des patients pris en charge (environ un million, donc), assure l’interface avec le médecin et est dépendant d’un traitement rapide et approprié de ces DAP pour pouvoir facturer l’Assurance maladie afin d’être rémunéré pour les prestations qu’il délivre, a purement et simplement été oublié dans la phase préparatoire.
Des expérimentations du dispositif ont été effectuées auprès de quelques pneumologues depuis fin novembre 2023, les professionnels de santé ont été informés depuis juin et incités à avoir recours au dispositif depuis le 1er juillet, alors qu’un (simple) mail aux « fournisseurs de PPC et AOM », concernés en premier lieu, n’a été adressé que le 11 juillet et les organisations de PSAD convoquées en urgence sous 3 jours à une réunion de présentation… un 29 juillet !
Résultat : faute de consultation des PSAD en amont, le dispositif est, en l’état, hors sol et ignore totalement la vie réelle, ce qui aurait des conséquences significatives pour les prestataires et pourrait remettre en question la continuité des prises en charge des patients.
Illustrations les plus saillantes du caractère inabouti du dispositif :
• Absence de processus d’information des PSAD dans le système : En l’état, pour l’ensemble des DAP, aucune disposition n’a été prévue pour tenir informé le prestataire de la décision du service médical. Si, dans la majeure partie des cas, un avis favorable sera émis et générera la prescription, se pose la question des DAP qui auront donné lieu à un avis différé. Ce dispositif destiné à simplifier la tâche des caisses et des professionnels de santé, va au contraire l’alourdir significativement pour les prestataires qui devront s’enquérir de la décision auprès de professionnels de santé déjà débordés…
• Risque sur la continuité des prises en charge : Le dispositif s’avère encore plus problématique dans le cas de renouvellement de traitements et ce, pour plusieurs raisons :
• Le prescripteur ne bénéficie d’aucune alerte lui permettant d’avoir une visibilité anticipée des renouvellements à effectuer pour les patients traités au long cours et les patients n’y pensent souvent pas
• A supposer que les patients soient conscients de la nécessité de consulter leur médecin, au regard de la démographie médicale déclinante, de nombreux patients mettent souvent de nombreux mois à pouvoir consulter leur praticien. Or, il est prévu dans le dispositif que la facturation ne puisse être réalisée qu’à partir de la date de la DAP de renouvellement (activée lors du rendez-vous médical, sans possibilité de prévoir une rubrique distincte permettant au professionnel de santé d’indiquer à partir de quelle date le renouvellement doit être opéré.
Problème :
• Le dispositif ne tient pas compte de la possibilité probable d’un différé entre la date de fin de traitement initial et la date de renouvellement effective. Pourtant, l’expérience montre que c’est la réalité d’une très grande majorité des cas.
• Le dispositif ne permet pas davantage au prescripteur de renouveler le traitement de manière anticipée.
Question : que faire dans ces cas précis ?
• Désappareiller le patient en attendant qu’il consulte son médecin ?
• Facturer directement le patient ?
A ces difficultés s’ajoutent également le fait que certaines caisses exigent déjà ces DAP électroniques, alors qu’elles ne sont censées être exigibles qu’au 31 décembre. N’hésitez pas à nous en informer si tel est le cas.
Il est primordial que des ajustements soient apportés au dispositif afin que celui-ci puisse répondre à ses objectifs initiaux sans sacrifier des acteurs majeurs de la chaine : nous avons alerté le directeur général de la CNAM.
La CNAM nous a d’ores et déjà proposé un créneau de réunion pour évoquer l’accès au téléservice DAP début septembre et nous fera parvenir prochainement une liste de demandes d’informations pour alimenter nos échanges.
Information de sécurité ANSM – Ventilation : BiPAP A40 Pro, BiPAP A40 EFL et BiPAP A30 EFL – Philips Respironics. Un défaut dans le processus de fabrication d’un capteur amène l’alarme “High Internal Oxygen” à se déclencher sans raison. Elle se déclenche normalement en cas d’accumulation d’oxygène dans le ventilateur, lorsqu’une oxygénothérapie est administrée à un patient (traitement médical qui consiste à apporter de l’oxygène par les voies respiratoires en cas de diminution des capacités pulmonaires).
> Cliquez ici pour lire le courrier du 23 juillet 2024.
Le conseil d’administration a décidé d’entreprendre une enquête d’opinion avec l’association Santé respiratoire France.
Cette enquête sera réalisée auprès de prescripteurs et de patients vivant avec une maladie respiratoire et bénéficiant d’un dispositif médical tels qu’une machine à pression positive continue (PPC), un dispositif d’oxygénothérapie ou de ventilation afin de connaître leur perception du métier des PSAD.
Pour que cette étude soit la plus représentative possible, le nombre de réponses doit être conséquent. Aussi, nous vous demandons de bien vouloir la relayer auprès de vos prescripteurs et patients.
Pour cela vous trouverez ci-après les deux liens de diffusion :
> Questionnaire patients
> Questionnaire prescripteurs
Vous trouverez également > en cliquant ici pour les patients et > ici pour les prescripteurs, les deux mails types ainsi que les visuels que nous vous proposons pour accompagner cette diffusion auprès de vos contacts.
Information ANSM Urgente de sécurité – Ventilateurs Puritan BennettTM série 500 – Informations importantes concernant la durée de l’utilisation cumulée
Après la réalisation de tests toxicologiques standard pour évaluer les risques liés à l’exposition au 1,3-dichloro-2-propanol des Puritan BennettTM série 500, il a été déterminé que ces dispositifs sont sûrs pour une utilisation jusqu’à 10 ans, mais une utilisation cumulée de plus de 14 ans pourrait être dangereuse.
Les risques potentiels incluent le cancer et d’autres effets graves sur la santé avec une probabilité de 1 sur 10 000.
Dans ce contexte, nous avons été reçus par l’ANSM afin d’évaluer l’opérationnalité des démarches ainsi que les questions éventuelles en suspens. L’ANSM nous a informés que 1000 appareils auraient été mis en place depuis 2009 et qu’aucune information n’est connue sur le nombre de machine toujours en marche. Il se pourrait donc que vous soyez contactés afin d’établir un recensement.
Toutefois, il vous est dès à présent demandé d’établir la procédure énoncée dans le courrier pour les patients appareillés depuis plus de 10 ans, sur avis de l’ANSM.
> Cliquez ici pour lire le courrier du 9 juillet 2024.
| DIABETE – Réunion intersyndicale au CEPS avec Dexcom A notre demande, le CEPS a organisé une réunion rassemblant les syndicats de PSAD et la société Dexcom |
| RESPIRATOIRE – L’UPSADI fait appel au RespiLab pour mener une enquête d’opinion Le conseil d’administration a décidé d’entreprendre une enquête d’opinion avec l’association Santé respiratoire France auprès de prescripteurs et de patients vivant avec une maladie respiratoire et bénéficiant dans le cadre de leur prise en soins d’un dispositif médical tels qu’une machine à pression positive continue (PPC), un dispositif d’oxygénothérapie ou de ventilation afin de connaître leur perception du métier des PSAD. |
| STOMIE / TROUBLES DE LA CONTINENCE – Nouvelle réunion pour la commission La commission Stomie / Troubles de la continence a acté deux nouvelles actions à mener. D’abord, le projet de réponse à l’avis de projet de baisse paru au JO le 8 juin pour ce secteur et les travaux à engager en vue d’un rendez vous à programmer avec le CEPS visant à poser les bases d’une future description de la prestation et nous l’espérons, à terme, un forfait associé. |
| VPH – Les syndicats de PSAD seront réunis lundi prochain au cabinet de la Ministre Fadila Khattabi L’UPSADI, la FEDEPSAD et l’UNPDM ont échangé cette semaine afin de préparer la prochaine réunion au cabinet de la Ministre Fadila Khattabi. En effet, face à un climat politique incertain, le Gouvernement a semble t-il la volonté de précipiter la publication du décret sur la réforme des fauteuils roulants. Il était donc nécessaire de nous réunir pour se préparer à toutes les éventualités et surtout tenter d’obtenir des gages pour empêcher qu’une réforme, parce qu’elle n’est pas finalisée, menace les équilibres économiques des entreprises et l’intérêt des usagers. |
| NUMERIQUE EN SANTE – L’UPSADI échange avec la DNS En début d’année, l’UPSADI avait été consultée par la Direction du Numérique en Santé afin de mettre en exergue les points à solutionner pour que les PSAD soient bien demain, identifiés dans toutes les déclinaisons du numérique en santé > Cliquez ici pour consulter notre contribution. L’échange de cette semaine a permis de commenter les différents difficultés soulevées et d’identifier si des solutions pourraient être trouvées. Une nouvelle réunion se tiendra en septembre. |
| Information de sécurité ANSM – Ventilation : Ventilateurs BiPAP A30 / A40L’ANSM a été informé par la société Philips Respironics de la mise en œuvre d’une action de sécurité concernant les ventilateurs BiPAP A30 et BiPAP A40. Le problème concerne une mise en alarme du ventilateur entrainant l’interruption et/ou l’arrêt du traitement en cours. La société Philips étudie actuellement ce problème afin de mettre en place un correctif. Les PSAD doivent informer les patients et les prescripteurs concernés de la conduite à tenir : • Pour les patients Dans le cas où l’alarme se déclencherait, les patients et/ou aidants doivent retirer le dispositif et se brancher à l’appareil de secours si le patient en dispose. Dans le cas contraire, les patients et/ou aidants doivent immédiatement contacter leur PSAD afin d’obtenir un autre ventilateur de remplacement. • Pour les professionnels de santé Les médecins et professionnels de santé sont invités à évaluer si les patients auxquels les ventilateurs ont été prescrits peuvent tolérer une interruption de traitement. Si ces ventilateurs ont été prescrits à des patients en risque de perte d’autonomie respiratoire ou instables, une solution de remplacement doit être proposée et adaptée en envisageant de refaire une prescription d’un ventilateur avec maintien des fonctions vitales. • Pour les cliniciens d’établissements de santé Si une alarme de ventilateur défectueux se déclenche, les cliniciens d’établissement de santé doivent immédiatement retirer le patient de l’appareil et le connecter à une autre source de ventilation.> Cliquez ici pour lire le courrier de mai 2024. |
| Information de sécurité ANSM – Ventilation : Ventilateurs Omnilab Advanced Plus (OLA Philips +).L’ANSM a également publié un autre courrier d’information Philips qui concerne un problème d’alarme sur des ventilateurs Omnilab Advanced Plus (OLA Philips +). La société Philips a indiqué que ce problème concerne 7 dispositifs commercialisés et utilisés uniquement en établissement de santé. > Cliquez ici pour lire le courrier de mai 2024. |
Dans la perspective de notre participation au salon SantExpo, nous avons donné la parole aux Français sur la santé à domicile, qui ont plébiscité ce type de prise en charge.
A travers une étude inédite menée par Opinionway pour l’UPSADI et la FEDEPSAD, les PSAD constatent de fortes attentes dans le domaine de la santé à domicile, auxquelles ils peuvent répondre.
Par exemple, les Français ayant déjà eu recours des prestataires de santé à domicile, sont largement satisfaits de cette expérience. Ils mettent en avant :
• Le sentiment de sécurité pendant le traitement (90%),
• la qualité des échanges avec les professionnels de santé (88%)
• ou encore la facilité des prises en charge (84%).
• Les patients ont également apprécié la disponibilité 24h/24 et 7j/7 des professionnels (78%).
En outre, les Français plaident nettement en faveur d’une prise en charge à domicile, préférée à une hospitalisation, que ce soit :
• Pour la perte d’autonomie liée à l’âge (79%),
• la fin de vie (73%),
• le traitement d’une maladie chronique (65%),
• ou à la suite d’une opération (58%).
Une reconnaissance de la pertinence de notre secteur d’activité que nous allons capitaliser afin qu’elle fasse également, demain, l’unanimité auprès des Autorités.